« Le temps du monde fini commence » écrivait Paul Valéry en 1931.
Pourquoi cet appel n’a-t-il pas été entendu ? Comment faire de la conscience de cette finitude un commencement ?
Sous les décombres souffle un autre imaginaire, fait de coopération au lieu de concurrence, d’attachement à la Terre au lieu d’arrachement, d’une propriété-usage au lieu de la propriété-appropriation, d’une liberté retrouvée face à la « raison » économique et à l’asservissement de sujets renvoyés à eux-mêmes.
LES RENCONTRES DE LA LIBRAIRIE ÉTUDES MIRAIL
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