Ensemble pour un moment militant, festif, artistique, culturel et social !
Nous sommes engagés dans la multitude des lieux et des situations de résistance. Face à la domination sans partage de la finance et de ses propagandistes, nous voulons faire circuler le premier mai un vent de liberté et de solidarités !
Nos différences syndicales, philosophiques, politiques, sectorielles, ne sont pas un obstacle à notre volonté de construire des points communs. Nous avons de bonnes raisons de croire qu’on peut changer « l’ordre des choses », montrer que le monde pourrait être différent.
Lors du cortège de cette journée du 1er mai, dans la suite de cette journée et celles qui suivent nous créerons des rencontres, des initiatives pour donner envie de l’engagement. A travers nos luttes, nos grèves, les espaces de pratiques et de vie alternatifs, les résistances culturelles, nous combattons la soumission.
Riches de nos diversités pour favoriser l’échange et les initiatives, nous lançons cet appel à toutes celles et tous ceux pour qui la cause commune vaut le dépassement des sectarismes et des habitudes.
Nous voulons que cette initiative, crée une « insurrection de l’espoir », un moment qui redonne à chacun le souffle de poursuivre sa résistance dans un espace plus ouvert.
Premiers signataires
ATTAC, COUAC, Coordination des Intermittents et Précaires, CMCAS, CNT, Collectif anti OGM, Collectif anti délation, Collectif Bazar au Bazacle, Collectif Ni Pauvres Ni Soumis, Collectif Toulouse Libertés, DAL Toulouse, Friture, FSU, Jeux de Mômes, LDH, MRAP, RESF, Samba Résille, Tourisme Loisirs Culture, TV Bruits, Union Syndicale Solidaires, UD CGT, …
Concrètement, après le cortège du premier mai nous organiserons
- une batucada entraînée par les rythmes de « samba résille » vers un rassemblement prairie des filtres
- repas sur place
Sur ce lieu les signataires organiseront des stands, débats, interventions artistiques, des animations diverses (dont certains pour les enfants)
- apéro avec « Samba Résille »
- le soir concert-spectacle
Les signataires sont invités à présenter les initiatives qu’ils-elles comptent mettre en œuvre afin d’éviter de « se marcher sur les pieds » et, si possible, de faire du commun.
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